Si vous suivez cette page depuis quelques temps, vous le savez. On ne va pas vous l’apprendre… Le numérique a un impact environnemental et social à ne pas négliger.
Le volet prospectif de l’étude ADEME sur l’impact du numérique en France montre que, sans changement, l’empreinte carbone du numérique pourrait augmenter de 45 % d’ici à 2030 par rapport à 2020.
Et si le numérique peut être utile pour réduire l’empreinte environnementale de nos activités, il faut pourtant l’utiliser avec tempérance et modération.
A propos de cette étude
Ce rapport est une commande interministérielle et vient en réponse aux diverses injonctions concernant les technologies numériques et leur éventuelle contribution à la réduction de l’empreinte carbone nationale.
C’est une première publication qui propose une analyse « qualitative », et nous travaillons déjà à évaluer « quantitativement » un peu moins de 10 cas d’usage, à l’aide d’une approche par analyse de cycle de vie conséquentielle. Ces résultats chiffrés seront progressivement dévoilés, au troisième trimestre 2025 et premier trimestre 2026.
Nous vous proposons aujourd’hui de mettre en lumière quelques cas d’usage dédiés à l’agriculture.
Et ensuite ?
Nous aborderons les autres secteurs bien vite sur cette page (Industrie de l’énergie, Industrie, Mobilité et transport, Bâtiment, Ville et collectivités).
Nous remercions chaleureusement l’équipe du projet IT4Green avec qui nous avons travaillé sur cette étude : Julie Delmas-Orgelet (DDemain), David Ekchajzer (Hubblo), Laurent Eskenazi (Hubblo), Erwann Fangeat (Ademe Alt Impact), Eric Fourboul (Hubblo), Kelly Le Goff (Mavana), Fabienne Lefèvre (Mavana), Gillo Malpart (Mavana), Gauthier Roussilhe.
N’hésitez pas à les suivre aussi, ils partageront également d’autres enseignements intéressants sur leurs pages respectives